• Proposées par Cendrine Massel, directrice de Latitude Formation, ces "sept clés" sont extraites de l’article "Le ludique demande beaucoup de sérieux !", publié dans le n° 224-225 de la revue Actualité de la formation permanente.

    Voici le fruit de leur expérience et de constats dans différentes missions de“revamping” de modules mis en place auprès de différents organismes de formations.

    La pédagogie active peut se résumer en 7 clés.

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  • Qu’est-ce qu’il faut que je change pour faire apprendre en 2016
     

    Une chose certaine c’est que le changement est là pour rester. Le monde de l’enseignement et de l’apprentissage est un monde en constant changement. Apprendre c’est changer.

    Henri Boudreault publie sur son site : https://didapro.me/2016/02/29/quest-ce-quil-faut-que-je-change-pour-faire-apprendre-en-2016/

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  • Vous trouverez cet article sur le site : http://www.pedagogieactive.com/

    Manifeste pour un pédagogie renouvelée, active et contemporaine

    1. État des lieux

    Nous observons qu’à l’heure actuelle, les élèves qui fréquentent l’école primaire ou secondaire sont, pour la grande majorité, nés au 21e siècle alors que leurs enseignants sont nés au siècle précédent. La société, au cours de ces décennies, s’est transformée, et ce, à plusieurs égards : les journaux ont modifié leur format, les drones sont utilisés en agriculture, la neuroéducation démystifie l’apprentissage, la musique s’achète en ligne, les disquettes et les CD ont cédé la place aux nuages. Nous évoluons désormais dans un monde qui offre des perspectives de personnalisation dans une panoplie de domaines, allant de la gamme des iBidules aux services à l’automobile, en passant par le commerce électronique qui permet le magasinage dans le confort de son domicile. Dans sa généralité, cette offre de services se caractérise également par son instantanéité, sa diversité ainsi que par ses divers degrés de personnalisation. Tout ceci est causé, entre autres, par l’accélération de l’évolution technologique.

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  • Claire Pitiot prof d'éco gestion témoigne de son utilisation de Pearltress.

    Et pourquoi pas vous ?

     

    Afin de mêler pédagogie active, BYOD et travail collaboratif, Claire Pitiot, prof d'éco-gestion en lycée, utilise Pearltrees. Elle crée des "collections" de ressources que ses élèves nourrissent lors de leurs recherches.

    Claire Pitiot, prof d’économie gestion, utilise Pearltrees pour introduire le travail de recherche que devront réaliser ses élèves de 1ere STMG.

    Outil de curation de contenus de plus en plus utilisé par les enseignants, Pearltrees permet de collecter des ressources(vidéos, images, notes, pages web…) et de les rassembler, afin de les partager avec ses élèves. Certains profs l’utilisent pour préparer leurs cours, ou pour créer des banques de documents, à destination de leurs classes.

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  • PROJET  » LANGAGES ET ROBOTIQUE « – INITIATION AUX SCIENCES DU NUMÉRIQUE, LANGAGES MATHÉMATIQUES, SCIENTIFIQUES ET NUMÉRIQUES. LE ROBOT THYMIO 2

    PRÉSENTATION DU PROJET

    L’objectif principal de ce projet consiste à initier les élèves aux sciences du numérique dès le cycle 2 et ce  jusqu’au nouveau cycle 3, ce qui facilite la mise en place des liaisons école/collège à partir d’un travail dans les classes, de rencontres scientifiques et de travail commun entre élèves du premier et second degré.

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  • Comprendre comment les humains apprennent grâce aux neurosciences.

    D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuro-scientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage.

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  • L’échelle des comportements 

     
    Comment analyser le comportement de votre entourage ? Cet article propose un outil très utile pour gérer efficacement les relations avec autrui, que ce soit dans un cadre professionnel ou dans la vie privée. Il s’agit de l’échelle des comportements.

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  • Initiation à la pédagogie différenciée

    En classe, un enseignant se retrouve généralement face à des élèves ou des étudiants ayant des capacités et des modes d’apprentissage différents. Ainsi, il existe entre les élèves des écarts de vitesse, d’autonomie, de motivation, d’intérêt, de compréhension…Dans ce cadre, comment peut faire un enseignant pour ne plus être « indifférent aux différences » ? Comment peut-il prendre en compte l’hétérogénéité de son groupe d’apprenants pour proposer un meilleur enseignement pour tous ?

    Une réponse se trouve certainement dans le concept de pédagogie différenciée. Cette approche part du constat que chaque élève est différent. Elle apporte une réponse à l’hétérogénéité des classes par des pratiques adaptées à chaque apprenant. En mettant en place une méthode de différenciation pédagogique, l’enseignant n’est plus au centre de la classe, mais c’est l’enfant ou l’activité qui devient le principal intérêt. 

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  • THE PRESENT

    SENSIBILISATION AU HANDICAP

    Je voulais partager avec vous ce court-métrage d’animation réalisé par l’Allemand Jacob Frey sur le thème du handicap. Il a été vu 2,5 millions de fois en une semaine. Et pour cause : il est profondément touchant.

    The Present raconte l’histoire d’un petit garçon à qui on offre un chien à trois pâtes. Peu convaincu au début, il change d’avis rapidement, vous comprendrez pourquoi en voyant la fin.

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  • "Eduquer c'est définir le mode de vivre ensemble et en même temps ouvrir l'esprit, donner à l'esprit l'espace de sa propre évolution, dans l'équilibre avec le groupe."  Pierre Rabhi

     

    D’après la théorie des intelligences multiples d’Howard Gardner (professeur à Harvard), nous n’avons pas qu’une forme d’intelligence, mais plutôt 8 !

    Connaître vos intelligences principales peut vous permettre de connaître les canaux via lesquels vous apprenez le mieux et donc d’augmenter votre confort et la vitesse à laquelle vous apprenez. De plus, développer les autres types d’intelligences vous permettra de mieux comprendre certains concepts et de devenir beaucoup plus perspicace dans certains domaines. Quelle est votre mode de raisonnement préféré ?

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  • Enseigner à un Elève en Situation de Handicap

    À l’école, au collège ou au lycée, l’élève différent qui présente un déficit moteur, sensoriel, intellectuel ou divers autres troubles, est confronté à une multitude de tâches au travers desquelles il peut rencontrer d’importantes difficultés :

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  • L’apprentissage hybride : un changement de posture pédagogique !

    Introduction

    Le numérique change nos habitudes dans différents domaines y compris dans celui de l’apprentissage et ceci dans le temps comme dans l’espace. L’information devient disponible 24h sur 24, sept jours sur sept et depuis n’importe où, du moment que l’on dispose d’une connexion à internet. La place du professeur est remise en cause. Il n’est plus le seul détenteur du savoir. Ainsi l’apprentissage en ligne ou « e-learning » modifie profondément notre manière d’apprendre, de transmettre et de partager le savoir. Alors pourquoi ne pas en profiter et ajouter cette corde à notre « arc pédagogique » ?

    Les réseaux sociaux comme Twitter [1], Facebook ou les plates formes numériques collaboratives comme Moodle [2] ou encore Edmodo [3] constituent des supports de choix pour proposer un apprentissage hybride à nos élèves alternant des phases de cours en présentiel et des cours en ligne en distanciel. Cet apprentissage en ligne peut alors se faire aussi bien en amont d’un cours dans le cadre de la classe inversée qu’en aval pour accompagner l’apprentissage de nos élèves en individualisant leur parcours.

    Bien évidemment les exemples proposés ci-dessous sur la mise en place d’un apprentissage hybride demandent des supports numériques domestiques (smartphone, tablette, portable…) ou le cas échéant un accès libre au numérique dans l’établissement (ex : CDI). Le numérique ne doit pas renforcer la fracture sociale bien au contraire le numérique peut et doit contribuer à la réduction des inégalités.

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  • Connaissez-vous LOGIX ?

    LOGIX

    Cette année, j'utilise le jeu LOGIX, recommandé par les orthophonistes, avec les élèves en lien avec le chapitre "Repérage" en maths.

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  • Propos recueillis par François Jarraud

    Les élèves utilisent mieux que nous le numérique car ce sont des "digital natives". On apprend mieux avec le numérique car il motive. Et puis il s'adapte mieux aux besoins des élèves .On a tous entendu ces affirmations. Mais qu'en est-il en vrai ? Dans "Apprendre avec le numérique" (Retz), Franck Amadieu et André Tricot, tous deux membres du laboratoire Cognition Langues Langages Ergonomie du CNRS, passent au crible de la recherche 11 propositions populaires. Et ça fait mal. Car ils démontrent qu'il s'agit de mythes modernes. Faut-il pour autant jeter le numérique à la poubelle des outils éducatifs inutiles ? Les auteurs ne le pensent pas. Ils s'en expliquent.

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  • Je vous propose un extrait de l’article de Philippe TAILLARD (Délégué académique au numérique - Paris), mettant en exergue les plus-values du numérique en éducation :

    Plus que toute autre technologie, le numérique permet d’accroître les facultés de l’homme dans bien des domaines. Le numérique est un accélérateur de changement : il modifie notre relation au temps et à l’espace, il agit sur nos modes de pensée, d’échange et de communication. On le voit avec l’évolution de toutes les pratiques sociales et professionnelles. Pour autant, est-il un vecteur d’amélioration de l’efficacité de l’enseignement ? À l’évidence, la réponse est oui. Même s’il est difficile d’établir un lien entre les usages pédagogiques du numérique et une meilleure réussite des élèves, tous les retours d’expérience […] ont mis en évidence de réelles plus-values pédagogiques quant aux conditions d’apprentissage des élèves ; ce n’est pas rien. Les résultats positifs le plus fréquemment observés sont les suivants :

    • L’autonomie et la créativité des élèves : L’ordinateur confère un rôle plus actif dans son apprentissage à l’élève, moins dépendant de l’enseignant. Il lui offre aussi la possibilité de s’exprimer plus librement.

    • La collaboration entre élèves et l’interactivité.

    • Le droit à l’erreur, le droit à l’essai : Le numérique, avec une patience infinie, traite l’erreur par des autoévaluations et des corrections – erreur n’est pas faute. Quant aux difficultés conceptuelles, aides en ligne, ressources, FAQ ou groupes de discussion peuvent aider à les lever.

    • La différenciation pédagogique et l’individualisation des parcours : Le numérique répond au problème de l’hétérogénéité des classes en offrant à chacun la possibilité d’avancer à son rythme. Les ordinateurs sont des auxiliaires de l’enseignant, qui répètent, corrigent, réexpliquent autrement ou donnent des informations. L’ordinateur devient un médiateur entre l’élève et l’enseignant.

    • La motivation de l’élève : L’accès aisé à tout instant à tout média depuis le même lieu permet de dégager du temps au profit de la réflexion et des manipulations. Devant son écran, l’élève travaille à son rythme sans se sentir jugé, sans appréhender la difficulté et en bénéficiant d’évaluations immédiates de son travail.

    • Le prolongement de l’école hors de la classe : Il est souvent plus facile aux jeunes de se mettre au travail devant leur écran que devant un livre. Dans ce cas, la recherche d’informations, l’accès aux cours et aux exercices sur des sites leur ouvrent de nouveaux horizons. Et les éditeurs mettent maintenant leurs logiciels de CAO gratuitement à la disposition des nombreux étudiants désireux de poursuivre leurs travaux à la maison.

    • L’orientation : Les jeunes sondés sur le sujet évoquent souvent l’intérêt du numérique pour leur accompagnement dans l’orientation. S’ils le jugent idéal pour s’informer, ils soulignent que la rencontre d’un spécialiste, dans une phase de conseil, leur paraît indispensable.

     

    Vous pouvez consulter l'article complet de P. Taillard : Faire entrer l'école dans l'ère du numérique

    Pour aller plus loin vous pouvez regarder la conférence de Stéphane Côté - Pédagogie 3.0 La force d’engendrer des progrès mesurables 


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  • Cours de musique pour traiter la dyslexie - ça marche !

    Les résultats de l’étude menée par une équipe des chercheurs italiens apportent pour la première fois des preuves tangibles que la dyslexie chez les enfants peut être traitée par la musique. Daniele Schön*, violoncelliste et neuropsychologue, s’intéresse tout particulièrement aux liens entre la musique, le langage et le cerveau, et notamment dans le domaine des pathologies du langage. Il a piloté ce projet entre Rome et Trieste.

    D'où vient l’hypothèse que les cours de musique pouvaient traiter la dyslexie ?
     
    Notre connaissance du cerveau a énormément évolué depuis une vingtaine d’années. Avant, on pensait que la musique et le langage étaient traités dans les zones complètement distinctes : le langage à gauche, la musique à droite dans notre cerveau. Grâce à la neuroimagerie qui s'est énormemment développée et sur laquelle nous appuyons nos recherches depuis, notre vision a radicalement changé : nous savons maintenant que cette dichotomie n’est pas aussi nette, et que pour la parole, comme pour la musique, certains réseaux se chevauchent et certains sont similaires.

    Nous nous sommes donc d’abord demandé si l’entrainement musical quotidien, pendant plusieurs heures, pouvait améliorer les facultés du langage et nous avons testé les musiciens, enfants et adultes.  Et les résultats ont montré que les musiciens ont en effet les facultés du langage plus performantes que les non-musiciens : ils ont une meilleure discrimination sonore, une meilleure prosodie et structure grammaticale et apprennent les langues étrangères avec beaucoup plus de facilité.

    ►Et cela ne serait pas dû au fait que les musiciens ont une meilleure oreille…
     
    Non, il ne s’agit pas là d’une prédisposition génétique, nous avons pu observer que  l’activité musicale provoque de véritables modifications au niveau cérébral. La pratique de la musique est une activité cérébrale très complexe. La musique est plus structurée que le langage et elle demande une grande précision temporelle, à la fois dans la perception et dans le geste. Je suis violoncelliste dans un quatuor, par exemple : j’écoute mon jeu, donc il y a déjà ce lien entre la perception et le geste. Ensuite, j'écoute le jeu des autres instrumentistes auquel je dois sans cesse m’adapter. Les systèmes auditif et motrice doivent être très bien connectés, différentes zones du cerveau se mettent en résonance pour arriver à un résultat ultra-précis et ultra- efficace. Les processus prédictifs dans la pratique musicale sont très subtils, et notre cerveau aime anticiper. Le cerveau est comme un orchestre : plus la communication entre les aires est importante, plus la connexion est performante et plus il y a de synchronie entre différents aires. Et comme on a dit que les zones du langage et de la musique communiquent, les deux en bénéficient.

    ► Et donc, par rapport à la dyslexie, quel serait l’effet de l’entrainement musical ?
     
    La dyslexie, en tous cas, celle d’origine phonologique - parce que c’est un syndrome neurologique assez complexe -  est un trouble perceptif. Un dyslexique a du mal à différencier par exemple un PA d’un BA, les sons qui se prononcent de façon similaire, et par conséquent de les restituer à la lecture, ce qui fait penser à une incapacité de différencier les lettres, alors que cela coince au niveau de la perception et la représentation des sons. De plus, les enfants dyslexiques ont très souvent des difficultés de coordination sur le rythme, en tapant des mains, par exemple. Le fait de les exposer à l’entrainement musical, de préférence à une musique rythmée, permettrait de réguler l’activité oscillatoire cérébrale qui est nécessaire à la reconnaissance des sons.
     
    Comment avez-vous mené cette étude ?

    Nous avons travaillé à Rome et à Trieste, avec le concours de la Fondation Mariani,qui soutient les projets dans les domaines de la santé infantile, et en collaboration avec les services neuropédiatriques et neuropsychologiques locaux. Nous avons opté pour une "étude randomisée contrôlée", c’est-à-dire que les sujets sont choisis par les chercheurs et au hasard. Notre cible étaient les enfants dyslexiques de 8 à 11 ans qui sont suivis en ortophonie. Pendant six mois à raison de deux fois par semaine, un groupe d'enfants a suivi les cours collectifs de musique, et l'autre les cours d’arts plastiques. A l’issu des six mois, on leur a donné à déchiffrer un texte et le résultat était frappant : 60% d'enfants du groupe « musique » se sont amélioré en lecture, au point de sortir des critères du diagnostic de dyslexie, contre 28% dans le groupe « art plastique ». Il y a un transfert de compétences dans le cerveau suite aux cours de musique : du travail sur le rythme vers une meilleure discrimination sonore, qui a amélioré les résultats dans le domaine de la lecture.
     
    Y a-t-il une méthode miracle pour arriver à ce résultat ?
     
    Nous avons travaillé avec les méthodes Kodaly et Dalcroze, et notamment Kodaly, qui est basée sur l’apprentissage de la musique par le rythme et par le mouvement. Mais ce type de séances ne demandent pas forcement une formation particulière. La musique est d’ailleurs déjà très largement utilisée dans le traitement des pathologies du langage et par les musicothérapeutes, mais maintenant nous avons pu prouver par la science que ces pratiques sont à prendre en considération de manière sérieuse, en parallèle avec l'orthoponie qui reste la base de la prise en charge de la dyslexie.

    Institut de neurosciences des systèmes, Inserm/Université Aix-Marseille

    voir aussi l'article Musicologie


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  • Je crois en toi

    J'ai envie de vous faire partager les propositions de Maria Basque, Karine Le Goaziou, Isabelle de Lisle, Ostiane Mathon, concernant la pédagogie bienveillante dans leur livre "Je crois en toi."

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  • Employer la musique dans une situation d’apprentissage peut sembler une  idée bizarre. Pourtant les bénéfices que l’on peut en retirer sont considérables, pour celui qui apprend comme pour celui qui enseigne.

    On a constaté qu’une intégration plus substantielle de la musique (ainsi que des arts plastiques) dans l’ensemble d’un programme scolaire conduisait à des améliorations très sensibles en mathématiques, en lecture, en expression écrite et dans d’autres matières.

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